Une catastrophe depuis le dĂ©part de Patrick Astic. Des mĂ©decins plus souvent en vacances que des profs (3 appels entre juin et dĂ©but septembre, 3 fois s'entendre dire que son mĂ©decin traitant est en vacances) et que dire de l'accueil au secrĂ©tariat ! Ăa souffle en permanence, et ça se permet mĂȘme de nous raccrocher au nez quand ce qu'elles entendent ne leur plaise pas. Excusez moi de vous demander de faire votre travail. Bien entendu la pĂ©nurie de mĂ©decins les arrange bien car nous aurions changĂ© depuis bien longtemps si cela Ă©tait possible. Ce cabinet de famille ayant suivi mes parents, mes enfants et moi-mĂȘme est en train de mal tourner. Si le rythme est trop soutenu il faut changer de mĂ©tier.